Un scientifique russe qui étudie le champ d’énergie du corps humain prétend que les gens peuvent changer le monde en utilisant simplement leur propre énergie. Bien que cette idée ne soit pas nouvelle, rares sont ceux qui ont pris le temps de la prouver scientifiquement. Cela dit, la physique quantique a considérablement éclairci ce sujet au fil des ans. Le Dr. Konstantin Korotkov, professeur de physique à l’Université Technique d’Etat de Saint-Pétersbourg, affirme que nos pensées ont une influence sur notre environnement.
« Nous développons l’idée que notre conscience fait partie du monde matériel et que notre conscience peut directement influencer le monde, » dit le Dr. Konstantin Korotkov.
Il est difficile de voir l’énergie à l’œil nu, il est donc difficile de comprendre le monde énergétique invisible sans les observations des mesures scientifiques. C’est peut-être pour cela que l’étude de l’influence de la conscience sur la réalité est aussi peu développée. La bioélectrophotographie permet de construire un pont entre le monde physique et invisible. Dans ces expériences, on part du principe que le corps humain et la conscience émettent constamment de l’énergie. La bioélectrophotographie cherche à identifier ces champs d’énergie en terme de lumière autour du corps. En métaphysique, on appelle « aura » cette émission d’énergie, mais en science, on parle de « champ d’énergie ».
Il aurait réussi à prouver ce résultat en utilisant un procédé scientifique découvert en 1939 par un technicien russe nommé Semyon Kirlian. Ce procédé, la photographie de Kirlian, consiste à prendre une photographie sur une plaque électronique qui émet un champ électrique à haute fréquence.
Ici, le docteur Korotkov place les doigts d'une main d'un cadavre sur une plaque électronique, sur laquelle a été placée une feuille de papier photographique. Il fait ensuite passé du courant électrique et cette interaction parvient à créer une image sur le papier.
De la main de chaque cadavre il prend une photographie par heure pendant une semaine après la mort clinique du sujet. Ainsi, il a obtenu des centaines de clichés qu'il a ensuite stocké dans son ordinateur afin de pouvoir les analyser ultérieurement et s'en servir de preuves.
Grâce à l'analyse de ces clichés, le docteur Korotkov est capable de définir, sans autopsie préalable ni informations sur le patient, la manière dont celui-ci est mort.
Il reconnait une mort naturelle, par une perte de luminosité régulière et équilibrée pendant 36 heures. Il a remarqué qu'une mort violente retarde la désintégration d'énergie avec un changement rapide autour de 72 heures et qu'un suicide provoque une perte d'énergie prolongée qui ne se termine qu'une semaine après la mort.
En approfondissant ses recherches avec l'autopsie de certains sujets, il s'est également rendu compte que le retrait des organes internes par le médecin légiste avait une influence sur les images de Kirlian. Par exemple, il avait remarqué une excroissance lumineuse sur les photographies de Kirlian d'une personne morte d'un empoisonnement du foie. À son grand étonnement, lorsqu'il a ensuite retiré le foie de ce patient et prit une nouvelle photographie, il a pu apercevoir que l'excroissance avait laissé place à un trou dans l'énergie.
Ses découvertes confortent donc l'idée selon laquelle les photographies de Kirlian sont le reflet de quelque chose de bien réel et prouveraient l'existence d'une énergie qui semblerait ne pas mourir en même temps que le corps.
Par le passé et même encore de nos jours, de nombreuses personnes ont affirmés pouvoir manipuler une énergie qui semblerait similaire à celle décrite par le docteur Korotkov.
C'est le cas aujourd'hui encore, d'un groupe de guérisseurs anglais qui sont convaincus de pouvoir mener une sorte de combat électrique avec le corps humain en utilisant leurs mains comme des senseurs relevant des informations sur les champs d'énergie qui entourent leurs patients.
Il y a 5000, des érudits chinois décrivirent également une mystérieuse force vitale qui selon eux circulerait dans chaque être vivant. Ils la nommèrent le chi. Eux aussi prétendirent et leurs disciples prétendent encore, pouvoir « travailler » cette force en utilisant une forme de relaxation appelé qi gong.
Cette pratique consiste à inhaler et expirer lentement en se concentrant sur le point vital qui est situé au centre du corps et en effectuant une série de mouvements fluides très stylisés. Certains maîtres parviendraient même à projeter cette énergie bien au-delà des limites du corps.
C'est la pratique de cet art ancestral qui aurait donné naissance à l'acupuncture que nous connaissons aujourd'hui. Vous l'ignorez peut-être mais le travail de l'acupuncteur est de vérifier l'équilibre de l'énergie chi de son patient. Il y parvient en ayant préalablement pris connaissance de son dossier médical, puis en en palpant le pouls, en examinant l'abdomen, la langue et plusieurs autres parties du corps. C'est ainsi qu'il parvient à être informé sur le corps de son patient dans son intégralité et sur son flux d'énergie chi. Il ne traitera ce dernier que s'il trouve une erreur dans son flux d'énergie et c'est l'endroit où il trouvera cette erreur qui lui indiquera où placer les aiguilles. Traitant ainsi le corps dans sa globalité plutôt qu'un symptôme en particulier. L'un des points forts de l'acupuncture est qu'elle peut traiter une maladie générale sans avoir besoin d'un diagnostic spécifique.
C'est sur la base de cette approche de la maladie, que certains docteurs occidentaux ont commencé à travailler, tel le docteur Julian Jessel Kenyon qui en Angleterre, utilise l'image de Kirlian pour l'aider à poser son diagnostic. Il lui suffit de trois minutes pour relever une empreinte énergique, la visionner et la stocker pour suivre l'évolution du traitement de son patient. Pour lui chaque zone de la photographie de Kirlian correspond à un organe particulier. Ces photographies lui permettent donc de connaître l'organe responsable du problème et même de savoir si le traitement pris par le patient est le plus approprié. Grâce à cette méthode, il affirme avoir obtenu beaucoup plus de résultat clinique en faisant beaucoup moins de mal au patient et affirme qu'elle a beaucoup à apporter à la médecine conventionnelle.
Malgré toutes ces preuves, l'idée d'un système d'énergie invisible reste un concept que la plupart des scientifiques occidentaux ont du mal à accepter. Beaucoup de temps et d'autres preuves seront probablement nécessaires pour parvenir à faire évoluer les mentalités.
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