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lundi 20 juillet 2015

Akasha-Ether.



L’histoire courante ne révèle à l’homme qu’une minime partie de ce que vécut l’humanité au cours des temps les plus reculés. Les témoignages historiques répandent leur lumière sur peu de millénaires seulement. Les enseignements de l’archéologie, de la paléontologie et de la géologie sont très
limités. À cette carence s’ajoute l’inexactitude de ce qui repose sur des témoignages extérieurs. Songeons combien l’image que l’on se fait d’un événement pourtant récent, ou d’un peuple,
s’est transformée dès que de nouveaux documents historiques furent découverts. Il suffit de comparer entre elles les descriptions faites par différents auteurs sur le même sujet pour se rendre compte dans quel terrain mouvant nous nous trouvons. Tout ce qui appartient au règne sensible extérieur
est soumis au temps. Et le temps détruit également tout ce qu’il a engendré.
Or l’histoire extérieure est tributaire de ce que le temps a conservé. Aussi longtemps que l’on s’en tient aux seuls témoignages extérieurs, nul ne peut dire si ce qui est parvenu jusqu’à nous représente l’essentiel. – Cependant tout ce qui naît dans le temps a son origine dans l’éternité. Certes, la
perception sensible n’y accède pas, mais les voies qui y conduisent sont ouvertes à l’homme. Il peut développer les forces qui sommeillent en lui et parvenir ainsi à la connaissance de l’éternel. Les textes consacrés à la question « Comment acquiert-on des connaissances des mondes supérieurs », publiés dans la présente revue (entre-temps édités sous forme de livre), font état de cet entraînement. Ils montrent que l’homme, à un degré avancé de la faculté de connaissance, peut pénétrer jusqu’aux sources éternelles des choses périssables dans le temps.
Si l’homme élargit de la sorte sa faculté de connaissance,
alors, pour connaître le passé, il ne dépend plus des témoignages extérieurs. Il devient capable de contempler ce qui des événements n’est pas perceptible par les sens, ce que le temps ne peut détruire en eux. Il passe de l’histoire éphémère à l’histoire éternelle. Toutefois, cette dernière est consignée en une écriture qui n’est pas celle de la première.
Dans la gnose et la théosophie elle s’appelle « Chronique de l’Akasha ». Notre langage ne peut restituer qu’une faible idée de cette chronique, car il est fait pour décrire le monde sensible.


Tout ce qu’il nomme prend aussitôt le caractère de ce monde sensible. Quiconque n’est pas averti, n’a pas acquis par sa propre expérience la conviction que le monde spirituel est une réalité, aura facilement l’impression d’avoir affaire à un visionnaire, sinon pire encore. – Celui qui a acquis la faculté de percevoir le monde spirituel y reconnaît les événements passés sous leur aspect éternel. Ils lui apparaissent non comme de simples témoignages morts de l’histoire, mais comme des données pleinement vivantes.
Les événements du passé se déroulent en quelque sorte à nouveau devant lui. – Ceux qui sont initiés à la lecture de cette écriture vivante peuvent accéder à un passé bien plus lointain
que celui éclairé par l’histoire extérieure ; ils peuvent aussi, grâce à la perception spirituelle directe, restituer les faits que rapporte l’histoire, mais d’une façon bien plus authentique que celle-ci n’en est capable. Pour prévenir une erreur possible, disons tout de suite que la perception spirituelle, elle non plus, n’est pas infaillible. Elle aussi peut se tromper, être imprécise,
voire tronquée ou inversée.
Dans ce domaine aucun être humain, même de niveau élevé, n’est à l’abri d’erreurs. C’est pourquoi il ne faut pas se formaliser si des récits tirés de ces sources spirituelles ne concordent pas toujours parfaitement. Néanmoins la valeur authentique de l’observation est ici tout de même plus grande
que celle du monde sensible extérieur. Il existera pour l’essentiel toujours une convergence entre les récits sur l’histoire et la préhistoire faits par différents initiés. En effet, cet enseignement fut entretenu dans toutes les écoles occultes. Depuis des millénaires il existe dans ce domaine une concordance de vue si parfaite qu’elle n’est même pas comparable à celle couvrant le travail des historiens sur un
seul et unique siècle. Depuis toujours et en tous lieux les initiés fournissent pour l’essentiel le même récit.
Rudolf steiner.

Les archives akashiques sont connues sous plusieurs noms : chronique de l’Akasha dans l’Inde, la Table Conservée des initiés arabes, la Lumière Astrale des kabbalistes, le Livre de la Souvenance de Dieu des premiers chrétiens… le nom adopté par tous « la Mémoire de la Nature ».
Tout ce qui s’est passé depuis la création du monde y est inscrit et rien au sens absolu ne peut échapper à son enregistrement.
Cette Mémoire est au-dessus du temps et de l’espace.
C’est dans celle-ci que les mythes, les légendes, les paraboles ont été puisées par les Initiés. Ces contes cachent aux profanes ce qu’ils ne sont pas prêts à connaître des Grandes Vérités.
Les archives de notre planète peuvent être consultées par tout homme qui parvient à se hisser sur le plan où elles se trouvent. Les livres d’histoires peuvent être détruits, brûlés, peu importe, leurs mémoires sont toujours inscrites et ce, depuis des milliards d’années...
Pendant plus de quarante ans, Edgar Cayce (1877 – 1945), en transe médiumnique, a été capable de prescrire une solution médicale pour de nombreuses maladies alors qu’il n’avait aucune connaissance en médecine lorsqu’il était à l’état d’éveil. De même, il a fourni des informations relatives à l’histoire de l’humanité et à son devenir (prophéties). Comment faisait-il cela ?
Selon lui, il lisait dans les Annales Akashiques. C’est de là qu’il puisait toutes les informations.
Ses 14000 « lectures » (c’est ainsi que sont nommées les retranscriptions de ces messages) ont été conservées par une association. Il est donc difficile pour quiconque de nier la réalité de ces messages. Par contre, il est possible de ne pas être d’accord sur l’ « origine » de ces informations.
Mais où a t’il donc puisé toutes les informations qu’il a divulguées ?
Des auteurs comme Daniel Meurois et Anne Givaudan disent également lire dans les Annales Akashiques. C’est de là qu’ils puiseraient les informations qu’ils mettent dans leurs livres. Plus de 40 livres ont déjà été écrits par eux. Comment obtiennent-ils ces informations ? Est-ce de la pure invention ou est-ce issu de ce qui est appelé les Annales Akashiques ?
Il y a également certains voyants ou médiums qui se disent capable de lire dans les Annales Akashiques pour y trouver des informations concernant les personnes qui les interrogent. En France, il y a au moins deux personnes qui font ce type de lecture : Sandrine Lovato (www.annales-akashiques.com) et Sabine Lamarche (www.akashik-channel.com). Comment font-elles pour donner des messages personnels à des gens qu’elles ne connaissent pas ? Où vont-elles chercher leur source d’information ?
Avant toute chose, il peut être intéressant de préciser le sujet et de définir ce que sont les Annales Akashiques.
Elles seraient en quelque sorte la mémoire du temps.
Il s’agirait d’un « lieu » non matériel dans lequel tous les êtres et tous les évènements laissent une trace. Et il serait également possible d’y trouver des données sur les futurs probables (on parle de futurs probables car rien n’est écrit. Il n’y a pas de destinée. Tous les futurs possibles sont imaginables. Il y a juste des futurs qui sont « plus probables » que d’autres. Et ce sont ces futurs probables que les « voyants » disent être capable de lire).
Ce lieu pourrait être considéré comme une grande « Bibliothèque de l’Univers ».
Selon des thèses ésotériques, certains états de conscience permettraient de se « brancher » sur les Annales Akashiques pour y puiser les informations qui y sont enregistrées.
Les Annales Akashiques sont basées sur un élément qui est appelé « Akasha ».
Tout le monde connait les quatre principaux éléments (feu, air, eau et terre). Selon des traditions ésotériques, ils seraient réunis par un cinquième qui est précisément l’Akasha.
Ce dernier ne doit pas être considéré comme un élément « en plus ». Il est à la fois la synthèse et l’origine des quatre autres. Il en est l’essence et la cause…
L’Akâsha peut être considéré comme la « Matrice de l’Univers » d’où naîtrait tout ce qui existe. Il remplirait tout l’univers car il serait son « matériau » de base, son essence, son constituant, son origine.
L’Akâsha est un mot sanscrit qui peut se traduire comme « espace omniprésent ».
En mécanique quantique, il est expliqué que le « vide quantique » est un champ d’énergie qui emplit l’espace entier. Et l’état quantique serait l’état originel de la matière.
La notion d’Akâsha et de vide quantique pourraient donc être similaires. Cela pourrait être un même concept vu sur un angle différent. Le vide quantique est un terme scientifique alors que l’Akasha est un terme ésotérique. Mais tout deux semblent parler d’un même concept.
L’éther des physiciens est une manifestation de l’Akasha.
Dés 1934, Albert Einstein (1879 – 1955) disait que l’espace ne pouvait pas être vide mais était constitué de particules élémentaires appelées éther .
Nikola Tesla (1856 – 1943) précisait que toute matière provient d’une substance primordiale appelée Akâsha ou éther photophore. Et cette substance donne la vie à toutes les choses et tous les phénomènes, dans un cycle éternel.
Dans la théorie de l’Univers informé (basée sur les découvertes réalisées en mécanique quantique), tout univers nait d’un Méta Univers (aussi appelé Metavers) qui existait antérieurement à la naissance du nouvel univers et qui continuera d’exister après sa disparition. Cette notion de Méta Univers est l’équivalent de l’Akâsha. Il est omniprésent et contient la mémoire de tout ce qui existe ou a existé.
Carl Gustav Jung parlait d’un Inconscient Collectif qui pourrait se définir comme étant un dépôt constitué par toute l’expérience accumulée depuis des millions d’années. Il s’agit de l’écho des événements qui se sont accumulés durant toutes les périodes.
Cette idée d’Inconscient Collectif est similaire à la notion d’Annales Akashiques.
Ruppert Sheldrake parle, lui, de champs morphiques qui seraient des régions d’influence s’étendant dans l’espace et se prolongeant dans le temps. Quand un système organisé particulier cesse d’exister, son champ organisateur disparaît du lieu spécifique où existait le système. Mais les champs morphiques ne disparaissent pas. Ils renferment une mémoire de leurs existences physiques antérieures.
Cette idée de champs morphiques est similaire à celle d’Annales Akashiques.
Comme toutes idées nouvelles, ces théories sont sujettes à controverses.
Certaines expérimentations sembleraient tout de même accréditer leur validité.
Par exemple, William Tiller, physicien et professeur en science des matériaux et en ingénierie à l’université de Stanford, conçut une boite noire qu’il essayait de « charger » avec une intention humaine. Il se rendit compte que l’intention humaine enfermée dans ses boites noires parvenait à « conditionner » les espaces où ses expériences avaient lieu. Il s’aperçut aussi que lorsque l’appareil est resté un bon moment l’effet devenait relativement permanent. Même si la boite était enlevée, l’effet était toujours présent.
Cette expérience montre qu’il existe bien une « mémoire » ou une « trace » d’une intention même sans aucun support physique.
En irradiant un échantillon d’ADN avec une lumière laser, des chercheurs ont obtenu, sur un écran, un modèle typique d’ondes. S’ils enlevaient l’échantillon d’ADN, ces ondes ne disparaissaient pas mais persistaient, sous forme de structure régulière, comme s’il y avait toujours un échantillon matériel. D’autres expériences ont démontré que ces ondes provenaient sans aucun doute, de l’ADN qui « n’était plus présent » ! Cet effet, reproductible à volonté, est appelé effet ADN-Fantôme.
Ces deux expériences montrent qu’il existe bien une « information » toujours présente même si aucune forme physique n’est présente.
Quelle est cette information ? Où est-elle stockée ? Sur quel « support » ?
Est-ce dans un inconscient collectif, dans des champs morphiques ou dans des Annales Akashiques ?
Ces trois notions, bien qu’utilisées dans des disciplines et des contextes différents, semblent parler d’une seule et même chose.
Il s’agit d’une même réalité mais perçue sous un angle et une approche différente.
Et quelque soit le nom que l’on voudra donner au « support » qui permet de stocker cette mémoire, il est difficile de nier avec des arguments scientifiques la réalité de cette « mémoire ».



Ces dernières sont le rouleau éternel où est inscrit le plan concernant le monde et sur lequel ceux d'entre nous qui enseignent trouvent leur documentation et beaucoup de renseignements. Les chroniques akashiques sont semblables à une immense pellicule photographique enregistrant tous les désirs et expériences terrestres de notre planète. Ceux qui les aperçoivent y verront représentés :

1. Les expériences de la vie de chaque être humain depuis le début du temps.

2. Les réactions du règne animal tout entier aux expériences faites.

3. L'agrégat des formes-pensées de nature kamique (basée sur le désir) de chaque unité humaine au long du temps. Là réside la grande duperie de ces enregistrements. Seul un occultiste éprouvé peut établir une distinction entre une expérience réelle et les images astrales créées par l'imagination jointe à un vif désir.

4. Le "Gardien du Seuil" planétaire, avec tout ce que ce terme comporte et tous les agrégats de formes qui se trouvent dans son entourage.



Le voyant exercé a appris à dissocier ce qui appartient à sa propre aura de ce qui appartient à l'aura de la planète (celle-ci constituant réellement les chroniques akashiques). Il peut établir une distinction entre ces enregistrements qui sont :

a. Planétaires,

b. Hiérarchiques ou se rapportant au travail des douze Hiérarchies créatrices, en voie de concrétiser le plan du Logos,

c. Des formes imaginaires, résultant de l'activité des pensées-désirs de myriades d'humains qu'anime le désir d'une forme quelconque d'expérience,

d. La chronique historique se rapportant aux races, nations, groupes et familles dans leurs deux grandes divisions sur le plan physique et sur le plan astral. Il faut garder à l'esprit le fait que tout être humain appartient à une famille physique qui constitue son lien avec le règne animal, et qu'il appartient également à une famille astrale. En raison de cette appartenance, il est relié, sur l'arc ascendant, à son groupe égoïque, et sur l'arc descendant au règne végétal.

e. La chronique astrologique, ou les formes assumées sur le plan astral sous l'influence des forces planétaires. Ces formes se répartissent en deux grands groupes :

1. Les formes ou images produites dans l'akasha par l'influx de la force solaire, par la voie des planètes. 

2. Les formes ou images produites par l'influx de forces cosmiques de l'un ou l'autre des signes du zodiaque, c'est-à-dire des constellations qui leur correspondent.






1 commentaire:

  1. Louange à Dieu Seul sur le chemin de la rose et de l'étoile sur le chemin de Pierre celui de la prière préparons nous pour un grand débarquement selon la volonté de Dieu www/blanche-neige.webobo.com

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